Par Xavier Roubard
Quelle est la définition du bonheur ? La définition est subjective propre à chacun. Certains placent le bonheur au sommet de la vie humaine et en font un état exceptionnel, d’autres se contentent d’une succession de petits bonheurs. D’autres encore sont bien incapable d’en donner une définition, ou même de l’appréhender.
Si cet article ne vous donne pas les voies miracles qui permettent d’être heureux, il a la maigre prétention de fournir les moyens de cultiver le terreau propre à héberger un bonheur possible. Parvenir si ce n’est au bonheur mais en tous cas à un état de relative sérénité est tout à fait possible en appliquant quelques petites astuces d’ordre physique et mental.
Par sérénité, j’entends l’absence de troubles, la quiétude de l’esprit et du corps. Cette quiétude, cette constance, résultent d’une série d’exercices, de petits efforts quotidiens, qui au bout d’un certain temps vous deviendront naturels et même nécessaires.
La sérénité de l’esprit : elle s’obtient en évitant tout ce qui peut mener aux doutes, à la culpabilité, aux regrets voire aux remords. La procrastination, les compromis, les mensonges que l’on peut se faire à soi-même, les espoirs inconsidérés, la méconnaissance de soi mènent au trouble intérieur. A éviter absolument :
1. Se sous-estimer ou sur estimer : connaître ses possibilités, ses qualités, se défauts pour ne pas connaître de déception en cas d’échec, ou de regret en cas de manque d’une opportunité.
2. Mesurer ses paroles : les paroles doivent être des actes. Il ne sert à rien de parler pour compenser notre inaction. Car ce qui en ressort n’est que vacuité, futilité, sentiment de vide. Dire ce qu’on va faire et faire ce qu’on a dit, simplement, sans en faire état au premier venu mais simplement parce qu’il était nécessaire de le faire pour soi.
3. Oser prendre des risques : on ne peut pas se connaître totalement. Des fois des zones inconnues se présentent à nous et nous refusons de sauter le pas par peur et par ignorance. Alors certes, mes conseils jusqu’ici incitaient plutôt à la modération mais il est aussi bon parfois de jouer l’aventurier pour avancer et pimenter sa vie.
La sérénité du corps contribue à la sérénité spirituelle. La détente et le bien être physique contribuent à l’apaisement de l’esprit.
1. Manger sain sans fuir les plaisirs que nous offre la nourriture : tout est bon sans excès. Il ne sert à rien de pousser l’austérité jusqu’à l’ascétisme, car seuls les esprits exceptionnels y trouvent leur compte. La majorité des autres finiront par se laisser gagner par la grisaille et la tristesse de la monotonie.
2. Exercer son corps : courir, nager, bouger, peu importe, l’important et de donner à son corps un exutoire, de manière à évacuer la mauvaise énergie souvent accumulée la journée au travail. Les muscles se détendent, la bonne fatigue vous envahit et vous pouvez enfin vous sentir bien une fois que vous vous êtes défoulé.
3. Prendre soin de soin : s’occuper de son corps est aussi une preuve de l’amour de soi. Et nul ne peut aimer l’autre ou être aimé de l’autre s’il ne s’aime pas soi-même. Alors il ne faut pas
Conseiller en développement personnel, je réfléchis à la manière de mieux vivre au quotidien
Source : Contenu Gratuit / Bonheur
